Un autobronzant pour un hâle naturel, mythe ou réalité ? – feat Phytomer

Sachez-le, il y a 2 types de personnes que j’admire. Celles qui ont du talent, et celles qui bronzent. Oui parce que manifestement, entre la mélanine et moi, il y a comme une sorte de conflit digne d’un truc irréversible Israélo-palestinien. (La demi-mesure chez moi,… toujours !). J’ai eu beau invoquer le 49-3, il faut croire que ça n’accroche pas pour tout le monde. Alors face à ce problème, 2 solutions :

• L’acceptation La résignation et le look translucide façon limace à Miami,
• La triche parce qu’après tout, entre les seins des unes et les pifs des autres, on n’est plus à ça près.

Résultat : j’ai opté pour la triche et sachez-le, je n’en suis pas à mon premier coup d’essai. La crème testée par mes gambettes blafardes dans cet article sera donc ; la crème auto-bronzante Phytomer .

Et en avant pour l’essai !

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Du soleil en tube

• « Une crème fondante pour sublimer le visage et le corps d’un hâle incroyablement naturel. Sa texture blanche et légère s’applique facilement sans laisser de traces. Un air d’été enveloppe la peau, elle est lumineuse et satinée. »

PHYTOMER – Crème auto-bronzante, visage et corps – 125ml —-> 36,76€

PERSO : Tout d’abord, il faut savoir qu’en gamme de crèmes auto-bronzantes, j’ai quand-même un peu de bouteille. Je n’ai pour ainsi dire, jamais bronzé de ma vie alors j’ai pu connaître la bronzette carotte, la bronzette tachetée, la bronzette diluable à l’eau … Bref, de quoi avoir un petit avis sur la question.

Pour la crème Phytomer, commençons par le négatif (ouais j’suis comme ça moi, j’aime bien), le fait que cette crème soit blanche n’aide pas franchement à l’application. On ne voit pas si certains endroits sont plus marqués que d’autres, ce qui peut facilement engendrer de vilaines marques disgracieuses dont on se passerait bien (ce qui m’est arrivé lors de ma première application). Une fois l’expérience faite, têtue que je suis, j’ai donc remis le couvert en étalant bien consciencieusement la sun-mixture. (et ce sont les photos de ce deuxième essai que vous allez voir ensuite). Le résultat a alors été à la hauteur de mes attentes et ça n’a pas été pour me déplaire. Du coup, le petit truc pour bien étaler tout ça : faire très attention aux articulations (genoux, coudes, chevilles …) et appliquer longuement à la manière d’une crème hydratante que vous voudriez faire parfaitement bien pénétrer. Et hop, magie, le tour est joué ! 🙂 —-> En résumer, pas impossible, mais pas évident non plus.

Maintenant sur le rendu, et bien en effet, cet auto-bronzant est incroyablement naturel ! En fait, ce qui m’effraie toujours lorsque j’applique un produit de ce genre, c’est de me retrouver soit carotte (le célèbre !), soit bien trop bronzée pour ma peau naturellement blafarde. Et bien sur ce coup, je dois avouer que j’ai réellement aimé parce que cette crème m’a apporté la teinte légèrement hâlée que j’espérai, sans que ce soit déconnant avec le reste du corps (sur les photos, je n’en ai appliqué que sur les jambes).

Autre soucis récurant avec ce type de produit : l’odeur. En effet, les autobronzants ont toujours cette fâcheuse tendance à salement parfumer la peau façon « friture à l’huile de foie de morue ». Sur ce point malheureusement, Phytomer ne déroge pas à la règle. En revanche, on peut noter la disparition totale de cette vieille odeur 2 jours plus tard sans pour autant que le bronzage ne commence à se dissiper. De même que sous la douche, fini la transformation de l’eau transparente en eau caraméliso-crado. Cette crème se fait on ne peut plus discrète et pour une baignade en piscine, croyez-moi, c’est bien appréciable ! 🙂

Poursuivons avec le temps que cette crème auto-bronzante met pour agir. Moi qui m’étais dit « allez, douche du matin, application du tube et hop, roule ma poule ; je serai bronzée cet après-midi ». Et bien NEIN !!! J’ai été bronzée le lendemain en fait. Donc attention sur ce point, il faut prévoir la veille pour que le produit puisse agir et montrer à votre peau de quoi il est capable.

Enfin, concernant sa tenue, ce qui est agréable, c’est que l’effet hâlé de cette crème auto-bronzante ne part pas de suite à l’eau. Perso, le rendu « j’me la pète grave avec ma peau presque bronzée » a pu perdurer une petite semaine. (Et je me lave chaque jour ! —> grand dieu, une française propre …). Génial donc, lorsqu’on part un week-end voire un peu plus en bord de mer. Bon, par contre, à voir si l’eau salée de la méditerranée ou de l’océan altère plus rapidement le bronzage mais pour ce qui est de la douche, c’est approuvé.

Je crois que nous avons fait le tour, alors place désormais à « l’avant/après ». (J’pense pas que les indications soient indispensables, on voit très clairement quel cliché a été pris avant application, puis après. —> un indice tout de même pour chez vous ; après, je porte des lunettes … et j’me la pète grave 😉 ).

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Et de conclure …

… que j’avais prévenu ! Mes jambes ne sont pas blanches, elles sont translucides ! Sachez d’ailleurs qu’elles peuvent faire office de détecteurs de sang mais également, blanchir l’émail des dents et repousser le mauvais œil les soirs de pleine lune. Pratique en cas d’invasion de Zombie.

Bref, parlons peu parlons bien, j’ai adoré le côté naturel de cette crème auto-bronzante type « je te hâle la peau, mais l’épiderme cuisson à point, c’est pas pour toi ». Je suis donc passée de bleue à saignante, et c’est tout ce que je souhaitais. (cette phrase est méchamment glauque mais comme j’me bidonne toute seule devant mon écran, je garde).  Ni trop, ni trop peu. Parfait ! En revanche, attention aux traces. C’est que la crème Phytomer demande un petit temps d’adaptation, surtout si vous n’avez pas l’habitude de ce type de produit.

Phytomer, l’autobronzant qui va te faire hâler à la plage —> AH AH AH / #TeamCarambar / POUM TCHIIIIIIIII

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