Les JO, ce bol d’air inattendu. Une chose est sûre, personne n’avait parié dessus. De la Phryge en passant par les jeux eux-mêmes, tout n’a été que surprises.
Et les cérémonies dans tout ça ? Oh ben évidemment, 3 sur 4 ont été monopolisées par l’égo de Daphné Burki, la dernière ayant pu y échapper grâce au relai de la scène électro Française et alors, quelle scène !!!
Une dernière cérémonie de clôture des jeux paralympiques dont tous ces DJ ont été lancés par Jean Michel Jarre. Alors OK, il a ce petit côté Yvette Horner. Mais il a aussi un côté Daft Punk. Un style qui oscille entre le presque sublime et le presque ridicule, l’intellectuel et le facile. Il est à part. C’est ce qui fait son charme. Il est les deux : pompier et avant-gardiste, franchouille et Ibiza, too much et expérimental, naïf et pointu, français et international. Et ça colle tellement avec la scène électro qui va dans tous les sens, tous les délires, toutes les personnalités, tous les styles et toutes les outrances.
Une scène électro qui oscille toujours entre sérieux et dérision, beauté et grotesque, minimalisme et démesure, bon et mauvais goût, entre la ringardise et le génie, le sombre et les paillettes, le grandiose et le n’importe quoi, l’émotion et la dérision. Pas étonnant que la France en soit le leader.
Et puis ce sont enchaînés Offenbach, Agoria, Irène Drésel, Breakbot, Polo & Pan, Kungs, Kittin … Ça a envoyé du beau, du bon, du lourd. Manquaient tout de même à l’appel, Gesafelstein, Rone, Vitalic, Thylacine, Kid Francescoli et quelques autres. Il n’empêche que cette scène électro, cette « French Touch », a fait plaisir à voir, et à entendre.
Raison pour laquelle je vous ai fait la playlist de tous ces moments, avec une touche de rab en toute fin et quelques sons entendus durant les 3 autres cérémonies.
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♪ Bonne écoute à tous ♫
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