Bientôt septembre, Secret Story et le retour d’Hanouna, pas de doute, la rentrée se fera sous le signe de la crise. Heureusement, quelques petites futilités viendront nous redonner le sourire, genre, la petite dernière signée Urban Decay j’ai nommé : la palette Naked Heat ! Et pour celles qui n’auraient pas encore eu connaissance de son apparition chez Sephora, sortez de vos grottes les filles ! 😉

En avant pour la 18.756 ème revue sur cette palette, histoire de faire dans l’original. 😉

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Naked Heat

   

  • « LA NOUVELLE PALETTE QUI MET LE FEU AUX POUDRES ! Les palettes NAKED ont révolutionné le maquillage nude. Urban Decay dévoile le nouvel opus de la saga NAKED: la nouvelle palette NAKED HEAT. »

URBAN DECAY – Naked Heat —-> 49,95€

PERSO : MAGNIFAÏQUE !!! Non mais les couleurs sont juste à tomber ! Totalement dans l’esprit sunset / été / fête … histoire de porter encore un peu de vacances sur soi, comme pour se consoler du retour de nos sonneries de réveil.

Alors évidemment, comme beaucoup d’articles ont émergés sur cette palette suite à la sortie de la demoiselle, j’ai pu en lire quelques-uns et constater que le « défaut » principal qu’il en ressortait était : LES CHUTES ! Ce qui ne m’étonnait d’ailleurs que très peu, les ayant également constatées dans les précédentes Naked, la faute aux textures trop poudreuses. Sauf que là … ben pas de chute chez moi. Alors je dois sûrement mal m’y prendre 🙂 , allez savoir, toujours est-il qu’à chaque utilisation, aucune chute de fard Heat. Ceci-dit, je n’ai pas encore utilisé toutes les teintes sur mon minois, alors peut-être que tout ça arrivera plus tard.

Quoi qu’il en soit, la pigmentation est incroyable, les fards irisés sont tout simplement magnifiques et très faciles à travailler avec un bon pinceau « fluffy » pour mélanger et estomper les teintes. Et d’ailleurs, en parlant pinceau, parlons plutôt de celui présent dans la palette. Quand est-ce qu’une marque se décidera un jour à intégrer un pinceau « performant » ? Non parce que, quitte à l’intégrer dans le prix total du produit, autant qu’il ait une vraie utilité ! Sinon, qu’ils fassent baisser la facture en enlevant ce que personne n’utilise. Pour avoir essayé ces 2 embouts, aucun ne fait l’affaire. le côté « fluffy » justement, n’est pas assez large et trop compacte pour pouvoir prétendre à jouer du dégradé ; quant à l’autre embout, c’est un espèce de mix entre un estompeur large (le fameux fluffy), et un pinceau applicateur moyen, type lui. Sauf qu’à avoir le cul entre 2 chaises, ce pinceau n’est bon ni en précision, ni en « estompage ». Résultat : le flop ! Alors oui, les poils sont doux, oui le look est beau, mais c’est bien tout ce qu’il lui reste.

Autre point que j’ai pour ma part, trouvé dommage : le manque d’une teinte claire irisée. Parce que je ne vous cache pas que pour faire le makeup du dessus, la teinte blanche irisée, c’est chez Too Faced que je suis allée la chercher. Regrettable donc, qu’Urban Decay ne soit pas allé jusqu’au bout de l’esprit de cette palette. Les tons moyens et foncés ayant chacun leurs couleurs mattes et irisées, prolonger la démarche aurait été la bienvenue.

NAKED HEAT

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Et de conclure …

… que mis à part le couac du pinceau inutile mais quand même intégré dans le prix de la palette (comme quasiment toutes les palettes à pinceau en fait), et de la teinte claire irisée manquante, cette Naked Heat n’en reste pas moins un beau produit. Les couleurs sont incroyables, estivales, ultra pigmentées, et apportent au regard une touche de superbe. 🙂 Sans oublier que le look de la palette est très réussi, donc forcément, je ne pouvais que succomber et je ne regrette absolument pas mon achat !

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Vous aussi vous avez craqué pour cette merveille ?

Vous mettez plutôt quoi comme fards en ce moment ?


JANIS-EN-SUCRE-thats-all-folks